Quand la bombe est un chiffon et le graffiti nettoie nos murs, le policier pantois range ses menottes et les badauds applaudissent! Voilà une technique bien inscrite dans son temps : Le graffiti inversé. En utilisant la saleté des murs de la ville comme matière première, le dessin gomme la crasse tout en la révélant. Aux yeux des passants, premiers spectateurs du graffiti, vandalisme devient activisme et dégradation devient restauration.
http://www.alexandreorion.com/ossario/ossario_eng.html
http://www.reversegraffitiproject.com/index.html
L'incroyable valeur ajoutée du concept tag propre en terme de communication n'a pas échappé aux publicitaires. Le graffiti c'est l'insoumission, la liberté d'expression, l'art brut, c'est la jeunesse et son refus des carcans... autant de concepts si chers à nos amis le communicants. Alors quand celui ci est "propre", les annonceurs s'en donnent à cœur joie :
Sources :
http://www.environmentalgraffiti.com/
http://www.ecologiepratique.com/
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